L'affairisme.
Excellent reportage diffusé hier soir sur Antenne 2, concernant les machines à dépenser l'argent mises en place par nos Chers élus.
Pas de soucis de rentabilité, le contribuable est la, pour payer l'investissement puis les déficits de ces inutiles projets.
Parions, que ces idoties ne soient pas que des structures à faire dorer les blasons des élus, elles ont souvent pour but d'employer les amis, ce qui s'appelle le favoritime , elles peuvent parfois faire jouer les ristournes sur investissements.
Ne vous leurrez pas, la meilleure défense des mis en cause est <<Mais tout le monde le fait>> Sous entendu, pourquoi pas moi, mauvais argument irrecevable, mais symptômatique de l'efficacité des autorités de contrôle.
La plus belle et la plus mauvaise défense, est à mettre au compte de JP. ALDUY Président de PMCA avec ses vices présidents en sur effectif. L'économie de ce sur nombre est évalué à plus 1 million d'€ sur un budget de plus cent millions, quelle goute d'eau, dont il faut parler aux chômeurs de la Région.
Perpignan Méditerranée Communauté d'Agglomérations (PMCA) a fait l'objet d'un reportage diffusé ce jeudi soir sur France 2 dans l'émission Envoyé Spécial consacrée au gaspillage de l'argent des communes.
Les reporters y pointent notamment la surabondance de vice-présidents : 42 élus pour la communauté d'agglo roussillonnaise. Un record de France selon les journalistes de France 2 qui sont allés filmer les élus dans leurs locaux de l'hôtel d'agglo situé face à la gare TGV.
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L'aglo de Perpignan est endettée pour 522.061.000 € soit 2034 € par habitant.
La ville de Perpignan est endettée pour 228.689.000 € soit 1.904 € par habitant contre une moyenne en France pour une ville comparable de 1084 €.
Jean Paul ALDUY et le Maire actuel font supporter près de 4.000 € de dette par habitant et JPA estime que 1.000.000 d'€ est une bagatelle.
Jacqueline Amiel-Donat, élue PS au conseil municipal de Perpignan, avait effectivement saisi la justice suite à la fusion de la communauté d'Agglomération de Perpignan et de la communauté de communes du Rivesaltais-Agly. Elle contestait notamment l'arrêté préparatoire du préfet de septembre 2010, considéré jusqu'à présent comme l'acte administratif de création de cette nouvelle Agglo élargie. Et le tribunal administratif vient de lui donner raison, estime cette dernière. "C'est bien l'arrêté préfectoral du 27 décembre 2010 qui signe la naissance du nouvel EPCI (Établissement Public de Coopération Intercommunale) et donc la loi du 16 décembre 2010 qui entre en vigueur", explique l'élue qui est également avocate.
Une loi qui fixe à quinze le nombre maximum de vice-présidents pour la nouvelle entité. Bien loin du compte en ce qui concerne PMCA et ses 42 vice-présidents désignés depuis sa création. 27 seraient donc en trop.
Des vice-présidents qui perçoivent une indemnité de 1 600 euros environ par mois contre 230€ pour les simples conseillers communautaires. "Sachant que pour la plupart, ils cumulent l'indemnité liée à cette nomination illégale avec d'autres, je ne pense pas que la suppression de cette indemnité générerait pour eux des fins de mois difficiles", écrit Jacqueline Amiel-Donat dans son courrier à Jean-Paul Alduy. L'élue PS estime également que l'économie annuelle de plus de 500 000 euros ainsi réalisée "permettrait à l'Agglo de financer l'Agence économique et d'accompagner des initiatives créatrices d'emplois". Contacté hier après-midi, le cabinet de Jean-Paul Alduy faisait savoir que le président ne souhaitait pas réagir dans l'immédiat à ce courrier.
Que dire de St Cyprien avec un endettement par habitant VILLE/COMMUNAUTE supérieur à 5.000 € par habitant. Pourtant s'il faut vérifier les comptes et évaluer les dépenses de réception dans cette ville ou rien n'est trop cher ou tout va bien, c'est interdit , il faut passer par la CADA, le Maire refuse toute publication de ses dépenses.